Nettoyage ethnique

Du Guatemala à Gaza, la négation du génocide insulte la justice

La connexion entre le génocide à Gaza et celui des populations autochtones au Guatemala, c’est un fournisseur d’armes commun : l’État sioniste d’Israël, qui tire profit des guerres et de la mort.

L’Arabie saoudite et la France dirigent un « génocide politique »

Comment est-il possible de parler de « deux États » dans le contexte d’une occupation totale du fleuve à la mer, d’un peuplement colonial accéléré en Cisjordanie et de massacres collectifs perpétrés contre des enfants, des femmes et des hommes à Gaza ?

Un appel des travailleurs de Gaza aux syndicats du monde entier : Un cri face à la famine et au génocide

Ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, ce n’est pas seulement une guerre d’extermination physique, c’est une série de crimes qui surpassent tout ce qu’ont commis le nazisme et le fascisme en Europe.

Israël bombarde et affame Gaza sans perspective d’arrêt

Jusqu’à présent, environ 900 personnes ont été tuées et plus de 5 700 blessées depuis que la GHF a entamé ses opérations sous le prétexte de distribuer de l’aide, voici sept semaines, en mai dernier.

Israël intensifie ses attaques contre Gaza tout en élaborant des plans d’installation de camps de concentration à Rafah

Des plans de l’état génocidaire prévoient la relocalisation forcée des Palestiniens dans des camps de concentration dans le sud de Gaza

Génocide et déplacement en tant que négociation : la logique immuable du Plan Dalet. Photo : Soldat de l'OIF portant ouvertement la carte du « Grand Israël », qui comprend toute la Palestine, le Golan syrien et le Sinaï égyptien, appelant à un nouveau vol de terres aux Arabes."

Génocide et déplacement en tant que négociation : la logique immuable du Plan Dalet

Le projet du Plan Dalet – s’emparer de territoire d’abord, remodeler la carte de la population par la force, négocier plus tard – reste intégré à l’architecture des négociations de paix.

La politique israélienne de peuplement est un crime de guerre, dit l’ONU

« Ce qu’Israël fait en Cisjordanie occupée aujourd’hui rappelle fortement la Nakba de 1947-1949 et la Naksa de 1967 » déclare Francesca Albanese, la rapporteuse spéciale de l’ONU sur les territoires palestiniens