Prisonniers

L’occupation prolonge la détention administrative d’Abdul-Jabbar Jarrar le jour du premier anniversaire du martyre de sa femme Wafa’

La cas d’Abdul-Jabbar et de Wafa’ Jarrar illustre le recours systématique à la négligence médicale, à la torture, à la violence et à l’affamement dirigé contre les prisonniers palestiniens en tant que politique officielle du régime sioniste

Samidoun Belgique : De la répression des mouvements populaires

Samidoun : « Nous nous dressons en solidarité avec nos camarades d’Ahrar, de Code Rouge, de Les Soulèvements de la Terre, de Stop Arming Israel et de tout autre mouvement populaire confrontés à la répression étatique et à la violence. »

L’AIJD félicite Georges Abdallah pour sa libération et appelle à la libération des prisonniers politiques

L’Association internationale des juristes démocrates (AIJD) adresse ses chaleureuses félicitations et souhaite la bienvenue à Georges Ibrahim Abdallah, au peuple libanais, à son équipe juridique et au mouvement populaire qui le soutient en France et au niveau international, à l’occasion de sa libération après près de 41 ans d’emprisonnement en France.

Liège Occupation Free : Aujourd’hui c’est Gaza, c’est Samidoun. Mais demain, ce sera vous, ce sera nous !

Le gouvernement belge cherche à criminaliser et interdire les organisations qu’il juge « radicales », y compris le Réseau de solidarité avec les prisonniers palestiniens Samidoun, ainsi que des organisations telles que les militants écologistes de Code Rouge, ou Stop Arming Israel.

Le camarade Georges Abdallah, libre dans sa patrie : une école révolutionnaire de la lutte

Aujourd’hui, la présence du camarade Georges Abdallah au Liban constitue une avancée qualitative et revêt une valeur énorme pour la Palestine et le Liban, pour nos mouvements collectifs et pour l’unité de tous les Libanais qui luttent pour leurs droits au Liban et affrontent l’occupation et l’agression.

Enchaîné mais insoumis : Comment Georges Ibrahim Abdallah est devenu un emblème universel de la résistance

Georges Abdallah : Quatre décennies d’endiguement sioniste-américain, de solidarité transnationale et d’un épilogue non encore écrit au Liban.